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Comment fonctionnent courses de Formule 1 ?

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Du Grand Prix de Monaco au Grand Prix de Malaisie, les meilleurs pilotes du monde rivalisent de stratégies et de techniques pour gagner quelques précieux millièmes de seconde et ainsi espérer remporter la course. Si vous voulez parier sur les courses de F1, il est essentiel d’en comprendre le fonctionnement.

Comment fonctionnent courses de Formule 1 ?

Sur la grille de départ, les concurrents se placent selon leur classement lors des courses contre la montre. Ainsi, les premiers se mettent devant, suivis des seconds ….

  • Une fois les concurrents placés, les feux s’allument. Les moteurs sont alors mis en marche et les pilotes se concentrent.
  • Quand les lumières s’éteignent, les concurrents s’élancent.

Le vainqueur est celui qui arrive au bout des trente-six tours de circuit que comporte la course.Il s’agit donc d’être rapide, sans toutefois prendre le risque d’avoir un accident et de voir la course se finir prématurément.

Pour prendre soin de leur bolide tout au long de la course, les véhicules disposent de stands qui leur permettent de s’arrêter et de faire les réparations nécessaires. Un entretien qui ne prends que quelques secondes seulement. Une équipe de professionnels au service de la course.

Les questions sur la F1 que vous n’osez pas poser 

 le « marsouin ».

Dans le domaine de la Formule 1 depuis 2022, c’est devenu LA phrase. Mais qu’est-ce que c’est exactement ? Les monoplaces rebondissent sur certains circuits en ligne droite à cause d’un phénomène appelé « porpoising », qui tire son nom du marsouin, un mammifère apparenté au dauphin. un phénomène provoqué par les F1 modernes. Jusqu’à présent, des ailerons fixés à la partie supérieure de la carrosserie des voitures les maintenaient ancrées au sol. Cette année, le châssis est aspiré par le dessous par l’effet de sol, qui assure également un effet de succion. Cependant, si les voitures s’affaissent trop, l’air circule sur le diviseur extérieur, la pression diminue, la voiture se redresse, l’effet d’aspiration recommence, et ainsi de suite.

La FIA a décidé de prendre des mesures pour tenter de résoudre ce problème, qui affecte la sécurité et le confort des pilotes et auquel sont confrontées la majorité des équipes. Un capteur situé près du centre de gravité est utilisé pour détecter l’accélération verticale et établir une limite maximale pour la mesure de l’oscillation aérodynamique (AOM), qui est utilisée pour évaluer le degré de portance des monoplaces. Le Grand Prix de France verra donc l’application d’un nouveau règlement technique.

Si l’AOM est trop élevée, il est prévu que les équipes réévaluent leurs réglages. L’augmentation de la hauteur de conduite pourrait devenir nécessaire pour éviter les amendes ou les disqualifications. Pour le Grand Prix de France, c’est ce que Red Bull Racing et Ferrari devront faire.

Pourquoi les voitures de Formule 1 émettent-elles des étincelles ?

Tout simplement parce que c’est étonnant. Ces étincelles, produites par le frottement des patins de protection, absolument facultatives et maîtrisées de main de maître par les constructeurs, sont l’effet le plus attractif lors des courses de nuit. Pire encore si certains pilotes râlent de temps à autre sur la gêne qu’elles peuvent occasionner, comme l’a fait Carlos Sainz en 2018. Le grand public, qui apprécie les feux d’artifice, est roi.

En fait, est-ce un sport ?

Même si les F1 sont des merveilles technologiques, elles n’en mettent pas moins le corps humain à l’épreuve. Les pilotes doivent trimbaler une carcasse cinq fois plus lourde que d’habitude tout en subissant occasionnellement des forces supérieures à 5g. Le tout dans un habitacle qui peut atteindre 70 degrés. Le résultat ? Parce qu’ils sont des athlètes, les concurrents transpirent beaucoup tout au long de chaque course et brûlent près de mille calories par heure. Un effort qui relève presque du marathon. Il est donc essentiel de se préparer physiquement et d’avoir un corps naturellement capable d’encaisser le choc.

Mais comment fonctionnent les exigences ?

Les pilotes passent par les qualifications en trois étapes pour s’assurer la meilleure place sur la grille. En Q1, tout le monde prend le volant, mais seuls les 15 meilleurs véhicules – ceux dont le temps est inférieur à 107% du meilleur – sont autorisés à poursuivre. Les 10 voitures les plus rapides participent à la Q3, qui établit la grille finale, après que cinq nouveaux pilotes aient été éliminés en Q2. sauf pour quelques problèmes techniques ou comportementaux mineurs.